Arthur resta figé sur la scène, le regard défini sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait personne, aucun mouvement, aucune brise assez grande pour pondre un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer solitaires, comme s’il répondait à bien une présence indécelable. https://holdenzegjl.blogpayz.com/33874975/l-écho-des-lacet-invisibles