La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son exercice professionnel dans l’ombre tamisée de son atelier. Son emploi à enjoliver, fidèle compagnon de ses guidances silencieuses, laissait se modifier des fils d’or et de soie entre ses doigts. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, par https://juliusygjmo.affiliatblogger.com/85880698/les-fils-du-destin