Le scribe traçait avec minutie les symboles sacrés sur le parchemin, l’encre black s’imprégnant lentement dans le délicat papyrus. Chaque jour, il consignait les noms des dirigeants, des généraux et des traits importantes de Carthage, s’assurant que leur existence ne tombe jamais dans l’oubli. Mais chaque matin, lorsqu’il déroulait le https://andresreoxh.theisblog.com/34046382/le-dernier-pseudonyme