La nuit enveloppait l’océan d’un tenture d’encre, où seuls les éclats astraux dessinaient une carte incertaine. Le capitaine, accoudé à la rambarde du navire, observait le ciel, assimilant tout groupe à la pierre gravée qu’il tenait dans ses mains. Pourtant, ce qu’il voyait ne correspondait pas aux tracés qu’il avait https://jareduflru.angelinsblog.com/33032395/l-illusion-du-promontoire