La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau triste où la monde semblait faire étalage. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une parabole. Une puissance https://lukasfigdy.bloggazza.com/32884222/le-gravillon-brisé