Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du patronyme d’Orhan découvrit un objet unique parmi ses neuves acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en propos, foncé et délicatement ouvragé, décoré d'arabesques indéchiffrables qui semblaient danser sous l'éclairage des lampes à huile. Aucun souvenir de l’avoir acheté, zéro https://jolie-voyance58747.bloggerchest.com/33772858/l-éclipse-des-souvenirs