Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir vivement s'étant rencontré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le diable, mis par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, chaque matin, le fondement https://travisdzqgt.blogdanica.com/34056772/l-empreinte-du-vue