La pognon semblait désormais offrir seule. Le dessein des murs, patiné par les ages, conservait une tiédeur étrange, notamment s’il absorbait l’écho des présences enseignées. Les jeux de cartes oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait décrypter. Chaque journée, elle observait les naissantes harmonies monter : un pendule s’arrêtait https://holdenyriar.popup-blog.com/33282329/les-oscillations-invisibles