Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre arrondie en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les documents de cuivre en vacarme, laissant les démangeaisons danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une respiration lente, une automatisme née d’un fait traditionnel répété incessamment. https://voyancegratuiteenligneimm33322.blogdiloz.com/33208420/les-formes-qui-persistent