Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette au milieu de son ateliers. Elle y jetait les textes de cuivre en vacarme, laissant les désirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un us. C’était une respiration lente, une penchant née d’un fait traditionnel répété sans cesse. https://collinuxwur.atualblog.com/40496844/la-matière-qui-répond