Sous la vaste circulaire translucide du dôme martien, les journées s’écoulaient avec une lenteur oppressante. Alia ressentait le poids florissant des projections silencieuses sur les parois. Elles étaient désormais permanentes, délicatement mouvantes, comme une vapeur dense qui refusait de évaporer. Ces reproductions, nées des regrets cachés et non formulés, devenaient https://remingtondwmaq.losblogos.com/33394638/le-retour-du-dôme